- EAN13
- 9782898252143
- Éditeur
- Groupe Fides Inc. - Éditions La Presse
- Date de publication
- 07/09/2023
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
Autre version disponible
-
Papier - La Presse 22,50
Dans ce récit intime poignant de vérité, Nathalie Petrowski retrace l’histoire
de sa mère, Minou Petrowski, journaliste et écrivaine, grande amoureuse de la
vie et du cinéma, morte en avril 2021. Elle s’ouvre sur la relation riche mais
aussi complexe et parfois tourmentée qu’elle entretenait avec cette mère
fantasque et farouchement libre. Ce faisant, Nathalie Petrowski revient sur
des épisodes marquants – parfois douloureux, parfois heureux – de sa propre
vie. La photo en couverture de ce livre n’a pas été choisie au hasard. « Elle
résume assez bien notre relation : Minou est légèrement en retrait, protégée
par ses cheveux qui forment presque une armure ou un voile. Moi, je suis un
peu plus en avant mais pas complètement dans la lumière. Il n’y a rien de
maternel ou de protecteur entre nous deux. C’est plus une affaire d’égalité ou
du moins d’indépendance. Nous sommes deux entités indépendantes, mais
subtilement soudées. Ma mère, surtout, ne semble exercer aucun pouvoir, aucun
contrôle sur moi. Elle me laisse être et aller comme elle a toujours fait et
comme elle ferait si elle vivait encore et savait que j’écrivais un livre sur
elle et sur nous. »
de sa mère, Minou Petrowski, journaliste et écrivaine, grande amoureuse de la
vie et du cinéma, morte en avril 2021. Elle s’ouvre sur la relation riche mais
aussi complexe et parfois tourmentée qu’elle entretenait avec cette mère
fantasque et farouchement libre. Ce faisant, Nathalie Petrowski revient sur
des épisodes marquants – parfois douloureux, parfois heureux – de sa propre
vie. La photo en couverture de ce livre n’a pas été choisie au hasard. « Elle
résume assez bien notre relation : Minou est légèrement en retrait, protégée
par ses cheveux qui forment presque une armure ou un voile. Moi, je suis un
peu plus en avant mais pas complètement dans la lumière. Il n’y a rien de
maternel ou de protecteur entre nous deux. C’est plus une affaire d’égalité ou
du moins d’indépendance. Nous sommes deux entités indépendantes, mais
subtilement soudées. Ma mère, surtout, ne semble exercer aucun pouvoir, aucun
contrôle sur moi. Elle me laisse être et aller comme elle a toujours fait et
comme elle ferait si elle vivait encore et savait que j’écrivais un livre sur
elle et sur nous. »
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