- EAN13
- 9781612270012
- ISBN
- 978-1-61227-001-2
- Éditeur
- Black Coat Press
- Date de publication
- 11/2011
- Collection
- Noire (27)
- Nombre de pages
- 236
- Poids
- 500 g
Que l’on hérite d’une maison où vivait une tante malfaisante, ou que l’on s’installe par nécessité dans une cahute située dans un lieu réputé maudit, il est évident que l’on se retrouve AU SEUIL DE L'ENFER....
L'AUTRE COTE DES MIROIRS
« Non ! Inutile d’insister, nous ne passerons plus jamais le seuil de cet enfer ! » réplique Marek à sa femme, lorsqu’elle lui apprend qu’elle vient d’hériter de la maison de sa tante. Pourtant cette succession arrive à point nommé pour cette famille accablée de dettes.
Les lourds secrets recelés par les vieilles demeures sont parfois aussi nuisibles que les sortilèges. Rien ne peut les conjurer, pas même l’innocence…
TERATOS
Le soir, des clameurs fusèrent du hangar où Josif s’était enfermé. Leurs stridulations franchirent les cimes des arbres et parvinrent jusqu’au village. Les chiens joignirent leurs aboiements aux lamentations qui se répandaient dans la nuit. Elles transmettaient un message désespéré. Les hommes écoutaient et les femmes sentaient leur peau se hérisser.
Une fois encore on racontait au village que le trou de l’enfer s’était ouvert.
L'AUTRE COTE DES MIROIRS
« Non ! Inutile d’insister, nous ne passerons plus jamais le seuil de cet enfer ! » réplique Marek à sa femme, lorsqu’elle lui apprend qu’elle vient d’hériter de la maison de sa tante. Pourtant cette succession arrive à point nommé pour cette famille accablée de dettes.
Les lourds secrets recelés par les vieilles demeures sont parfois aussi nuisibles que les sortilèges. Rien ne peut les conjurer, pas même l’innocence…
TERATOS
Le soir, des clameurs fusèrent du hangar où Josif s’était enfermé. Leurs stridulations franchirent les cimes des arbres et parvinrent jusqu’au village. Les chiens joignirent leurs aboiements aux lamentations qui se répandaient dans la nuit. Elles transmettaient un message désespéré. Les hommes écoutaient et les femmes sentaient leur peau se hérisser.
Une fois encore on racontait au village que le trou de l’enfer s’était ouvert.
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