Travailler moins pour vivre mieux - Guide pour une philosophie antiproductiviste
Guide pour une philosophie antiproductiviste
Céline Marty
Dunod
Autre version disponible
-
Papier - Dunod 17,90
Pourquoi nous définissons-nous par notre emploi ? Pourquoi cherchons-nous à
être toujours productifs, au travail et sur notre temps libre ? D’où vient
l’idée qu’il faudrait trouver une carrière qui nous passionne ?
Le productivisme est bien ancré dans nos sociétés fondées sur le travail, où
il est censé satisfaire nos besoins matériels et garantir nos revenus et nos
droits sociaux, voire donner un sens à nos vies. Pourtant, il n’a pas toujours
été aussi central dans l’existence humaine. Comment s’est-il imposé comme une
activité si cruciale, si valorisée et défendue par tant de discours politiques
?
À la croisée de la philosophie, de la sociologie et de l’histoire, Céline
Marty décortique sans tabou les origines tumultueuses de notre idéologie du
travail et dessine des pistes d’émancipation antiproductivistes.
Aujourd’hui, le travail blesse, tue et pollue.
Face à l’urgence sociale et écologique,
nous devons collectivement choisir ce que nous voulons vraiment produire.
L’oisiveté pourrait-elle nous sauver ?
être toujours productifs, au travail et sur notre temps libre ? D’où vient
l’idée qu’il faudrait trouver une carrière qui nous passionne ?
Le productivisme est bien ancré dans nos sociétés fondées sur le travail, où
il est censé satisfaire nos besoins matériels et garantir nos revenus et nos
droits sociaux, voire donner un sens à nos vies. Pourtant, il n’a pas toujours
été aussi central dans l’existence humaine. Comment s’est-il imposé comme une
activité si cruciale, si valorisée et défendue par tant de discours politiques
?
À la croisée de la philosophie, de la sociologie et de l’histoire, Céline
Marty décortique sans tabou les origines tumultueuses de notre idéologie du
travail et dessine des pistes d’émancipation antiproductivistes.
Aujourd’hui, le travail blesse, tue et pollue.
Face à l’urgence sociale et écologique,
nous devons collectivement choisir ce que nous voulons vraiment produire.
L’oisiveté pourrait-elle nous sauver ?
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